« C'était mon équipe, a-t-il dit. Tous les soirs, je me couchais et je m'imaginais compter un but au Centre Bell. La chanson Fix You quand tu embarques sur la glace... C'est ces moments, que je regardais à la télévision ou que j'écoutais à la radio, que je voulais vivre un jour. Je dois avoir fait 2000 rêves par rapport à cette situation. »
« C'est ce qui m'a manqué jusqu'ici dans ma carrière : quelqu'un qui croit en moi, qui va me donner la chance que je mérite. Ce moment, je l'attends avec impatience. Je sais que, quand ça va arriver, je vais être prêt. Si c'est à Montréal, c'est encore mieux. »
Dea se dit prêt mentalement et physiquement. La pression médiatique ne lui fait pas peur, si bien qu'il pense qu'il arrivera à en bénéficier.
« J'ai tout le temps carburé à la pression. Quand j'étais junior, j'ai tout le temps aimé ça, quand il y avait un peu de piquant, de motivation. Au lieu de le prendre comme de la pression, je le prends comme une source de motivation pour me donner un deuxième set de jambes, plus d'énergie dans une game.»