« Je ne peux plus manquer autant de matchs et me retrouver dans les estrades. Peu importe ce que je dois changer, je dois le faire. Je vais devoir laisser faire certaines mises en échec.
Ces mises en échec percutantes qui changeaient l'allure d'une partie et qui ont toujours fait partie du hockey, c'est un gros risque aujourd'hui. Le Département de la sécurité des joueurs met beaucoup l'accent sur ce type de contact.
Parfois, ça ne vaut plus la peine. Tu dois jouer avec intensité, mais de la bonne manière. Je dois avant tout être sur la patinoire pour aider l'équipe. »