«Comment vous êtes-vous rencontrés?
Nous venons tous les deux de London, en Ontario. [] On se connaissait un peu parce qu'on avait des amis en commun. Il habitait à l'extérieur de la ville pour jouer au hockey, mais nous avons connecté en 2016 ou 2017 sur Instagram et Snapchat, et on est ensemble depuis.
Quelles sont quelques-unes des plus belles qualités de Nick?
Il est très attentionné. C'est très facile de s'entendre avec lui. Il possède plusieurs qualités. Je pense que sa manière d'être, en général, est l'une de ses plus grandes qualités. Peu importe ce qui arrive, si quelque chose de stressant ou de mauvais se passe, il sait comment gérer la situation, et il le fait avec calme.
Fait-il quelque chose qui t'agace et, si oui, de quoi s'agit-il?
Oui! [rires] Il est vraiment désordonné à la maison. Il enlève ses vêtements et les laisse sur le plancher. Je trouve des piles de vêtements à côté du lit. Mais, quand je lui demande, il range tout.
Ce n'est pas un secret, Nick et Cole sont des amis proches. Tu vois leur amitié sous un angle différent. Qu'est-ce qui fait qu'ils s'entendent si bien tous les deux?
La personnalité de Cole se marie vraiment bien à celle de Nick. Nick est très calme et décontracté, et Cole est vraiment énergique et amusant. Je pense que leurs personnalités opposées se mélangent très bien et, quand ils sont ensemble, c'est comme s'ils étaient dans leur propre monde. Ils s'adorent!
La plupart des joueurs rentrent chez eux pendant l'été, mais Nick et toi avez décidé de rester à Montréal cette année. Qu'est-ce qui vous a poussés à prendre cette décision?
Cette année, nous avons décidé de rester parce que je pense que la ville en été est très spéciale. [...] On aime vraiment la scène culinaire, les restaurants et les concerts. On essaie de profiter au maximum de tout ce qu'il y a ici en été. Je pense que la ville a tant à offrir. Nous avons beaucoup de chance de dire que c'est notre maison. On se sent vraiment chez nous, tous les deux, alors on est heureux d'être ici tout l'été.» - Caitlin, via le texte du Canadien de Montréal
