« Est-ce qu'il a eu le meilleur départ au monde? Non, concède Jacob. Mais il s'est replacé et s'est stabilisé au point où tu savais à quoi t'attendre. C'est intéressant pour un coach de savoir à quoi t'attendre à toutes les présences, à tous les matchs. Xavier est un gars qui peut jouer à gauche, à droite, c'est un passe-partout. Il a fait les ajustements nécessaires et il n'a pas fait de boulettes, il n'a pas fait de mauvais jeux. C'est à ça que tu peux t'attendre de lui, c'est ce qu'on avait vu même au niveau de la Ligue américaine. Il fait rarement deux fois la même erreur, il est proactif, il analyse beaucoup et surtout, il est arrivé là avec la bonne attitude, avec le couteau dans les dents. Il ne se disait pas "j'espère que...". Il voyait l'opportunité et s'est dit "je m'en vais la chercher". »