Max Pacioretty s'ouvre sur ses problèmes vécus à Montréal
Max Pacioretty a fait sa niche à Las Vegas depuis plusieurs saisons.
Maintenant bien acclimaté, il a pu revenir sur ce qu'il a vécu à Montréal lorsqu'il portait l'uniforme du CH.
Il s'est ouvert sur la pression d'évoluer à Montréal, lors d'un balado dont son agent est le co-animateur.
« Montréal est un super endroit et je suis vraiment fier de ce que j'ai accompli là-bas, [mais] j'ai l'impression que tout le monde a une durée de conservation là-bas », a avoué Pacioretty.
« Tout le monde m'en a parlé. D'anciens joueurs, des joueurs actifs, des amateurs, mais j'étais obstiné. Ça ne va pas m'arriver. Je serai ici pour le reste de ma carrière. J'adore ça ici, je vis à Westmount, je suis près des partisans, je sors souper tous les soirs. »
« Tout le monde m'en a parlé. D'anciens joueurs, des joueurs actifs, des amateurs, mais j'étais obstiné. Ça ne va pas m'arriver. Je serai ici pour le reste de ma carrière. J'adore ça ici, je vis à Westmount, je suis près des partisans, je sors souper tous les soirs. »
Malgré tout, Pacioretty a mentionné que le plus beau moment de sa carrière s'est produit lorsque le CH l'a nommé capitaine.
Il a par la suite expliqué la différence qu'il a sentie lorsqu'il est arrivé à Vegas.
« Quand j'ai vu la différence à Vegas, j'ai compris ce dont tout le monde me parlait. Il y a tellement moins de pression, que tu l'admettes ou non.
Tu vis ta routine beaucoup plus facilement. Ça enlève un poids sur les épaules, que tu sois un leader ou un jeune », a expliqué celui qui a porté le « C » sur son chandail bleu-blanc-rouge pendant trois campagnes.
Tu vis ta routine beaucoup plus facilement. Ça enlève un poids sur les épaules, que tu sois un leader ou un jeune », a expliqué celui qui a porté le « C » sur son chandail bleu-blanc-rouge pendant trois campagnes.
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