Il sera intéressant de voir s'il trouvera de nouveau du boulot dans la LNH. Loin de la pression de Montréal et avec un salaire qui reflète bien son rôle dans une formation, il pourrait être un atout très intéressant pour une formation qui aspire aux grands honneurs.
S'il veut vraiment Drouin, le DG des Avs, Chris MacFarland, devra réussir à le rentrer dans la masse salariale de son équipe. Heureusement qu'il aura, avec l'aide de Landeskog qui se retrouvera sur la LTIR, autour de 20 M$ pour remplir huit chandails. On peut cependant supposer que Bowen Byram en prendra une bonne partie, et l'Avalanche sera active pour cibler de l'aide sur les deux premiers trios, ce qui prendra sans aucun doute de l'espace. Mais un Drouin à bas prix, jouant sur le top-9, serait une très bonne chose considérant comment les 3e et 4e trios ont performé pendant les présentes séries éliminatoires.
« Alors pourquoi pas Drouin? Il viendra probablement très bon marché, il a des compétences, et oui, il y a la connexion MacKinnon. Il ajoute également une certaine polyvalence, car il s'est adapté au jeu de centre au fil des ans. Les attentes doivent simplement être réalistes à ce stade de sa carrière. Vous le faites venir pour pas cher, le sortez du marché fou du hockey qu'est Montréal et voyez si vous pouvez attraper la foudre dans une bouteille. Après des années, cela prend tout son sens. »