« Ce n'est pas à propos de moi. C'est Dom l'entraîneur-chef. Marc [Bergevin] a un travail à faire. C'est lui le directeur général. C'est lui qui y va avec ce qu'il pense. Je n'ai pas été élevé dans la jalousie. Pour moi, je ne peux pas être plus content que ce soit quelqu'un comme Dominique. »
« Ça n'affecte pas ma confiance comme homme de hockey. Je n'ai pas d'insécurité. Je suis très bien dans mes souliers tous les matins et je ne me remets pas en question. C'est hors de mon contrôle. Je ne peux rien faire à propos de ça. »
Quant au départ de Burrows, il laisse un grand vide selon Bouchard. « On perd Alex ici, on avait une super belle chimie, donc ça change un peu la dynamique, a-t-il avoué.
Pour nous, c'est beaucoup de travail quand tu tombes à deux entraîneurs. Une chance que j'ai Daniel Jacob, que les gens connaissent peut-être moins, mais c'est un homme de hockey. S'il n'était pas là, à 34 joueurs... On a besoin de lui. »
« On a Francis Bouillon qui nous donne un coup de main. Mais c'est clair qu'il ne sera pas assistant cette année. Ce n'est pas parce qu'on ne l'aime pas ou qu'il ne nous aime pas, mais ce n'est pas dans sa charge de travail. [Être assistant], c'est beaucoup, beaucoup de travail. »