«Je sais qu'Erik et sa femme on joué un rôle majeur pour l'aider dans cette épreuve,» dit DeBoer. «Le bon côté est qu'il a du monde avec lui, et encore plus important, sa femme est aussi bien entourée de bonnes personnes pour la supporter dans cette épreuve.
C'est beaucoup plus difficile de passer au travers que le monde pense, spécialement pour nos femmes. Nous avons trois ou quatre heures où nous pouvons venir à la patinoire et oublier pendant cet instant, luxe qu'elles n'ont pas.»